Le ministre de Développement rural, Guy Mikulu Pombo a procédé samedi à l’expérimentation d’une machine hydraulique conçue par les investisseurs sud-africains pour le traitement d’eau en vue de se rendre compte de sa performance dans la qualité de l’eau traitée. Le ministre Mikulu qui s’était fait accompagner des membres de son cabinet et des experts en la matière, a effectué une descente dans la commune de la N’sele où les eaux de deux sites ont été sélectionnées parmi les sites choisis pour l’expérimentation de la machine, à savoir le fleuve-Congo dans le site de Safari Beach et dans le site de Nganda- Yalha.
Cette machine est présentée au ministre dans le but de résoudre le problème de la précarité d’approvisionnement des milieux ruraux en eau potable où les populations consomment de l’eau contenant des microbes à l’origine des différentes maladies hybrides.Pour le ministre Mikulu, les eaux de ces sites sont sélectionnées pour chercher à savoir les résultats que ces machines donnent, indiquant qu’il attend le résultat obtenu après le test pour lui permettre de connaitre si le type d’eau brute qu’il y a s’approche du résultat voulu. « Ce résultat va permettre de se faire l’idée sur la compatibilité dans tel ou tel village pour que vienne après l’étape de l’expérimentation », a dit le ministre en substance, précisant que la population va s’en servir pendant une durée après la prise d’une décision.Pour le ministre, l’eau qui a 100% des microbes est consommée et qu’à travers cette machine, les microbes peuvent être réduits ou diminués.
Selon un expert, les eaux d’échantillons proviennent des sites extrêmement pollués, moins pollués, afin de passer à l’étude et à la comparaison sur les choix des sites en rapport avec le résultat obtenu. Les machines sont présentées par les fournisseurs et que le gouvernement procède par des tests avant d’émettre un jugement de valeur. « La machine est manuelle et simple à manipuler avec la main. Elle créée et dégage l’eau potable au robinet prête à consommer et peut être installée partout il y a l’eau, notamment des rivières, des sources et d’étang précisant qu’elle ne nécessite pas de l’électricité », a souligné le fournisseur.Pour rappel, cinq sites ont été sélectionnés pour le test d’expérimentation de cette machine notamment, le lac de Ma vallée dans la commune de Mont-Ngafula, la rivière Gombe qui contient l’eau la plus sale et tant d’autres.
Rédaction
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