Moins de deux mois après la mort de la regrettée combattante Monique Kitoko, les torchons brulent au sein de la Fondation Félix Antoine Tshisekedi.
Joint au téléphone depuis le Canada, Raymond Cimpalanga, co-fondateur, Vice-président pour la fédération du Canada et Financier de la FOFAT, exprime son désaccord avec la nouvelle ligne qu’on veut donner à la fondation.
« On demande aux uns et aux autres un peu de retenu, il y a des personnes mal intentionnées avec des plans machiavéliques qui cherchent à tout prix à prendre en otage et à confisquer l’œuvre de Monique kitoko Kilima d’heureuse mémoire pour des positionnements politiques et leur visibilité. »
« A les entendre, ils disent pérenniser l’œuvre de la fondatrice de la FOFAT, mais en réalité ils veulent effacer le combat de Monique Kitoko par l’élimination au sein de la fondation des personnes proches des idéaux de Monique », poursuit-il.
La FOFAT était bien plus une structure sociale que politique, précise-t-il.
Le Vice-président FOFAT Canada dit faire front contre quiconque voudra détourner la fondation de ses objectifs fondamentaux.
Affaire à suivre !
Laurent Nkongolo