D’après ses Analyses, Le politique Moïse MONI Della dis que, le président de la République, FATSHI l’a rejoint parlant de la théatralisation de la justice.
D’entrée de jeu, il salue l’Exhortation du Président de la République démocratique du Congo, Chef de l’État Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO lorsqu’il a décrit, au cours du Conseil des Ministres,
la « théatralisation » des décisions judiciaires ce dont, il y a 2 semaines de cela. Moïse préconise qu’il y a plus d’un mois, qu’il avait publié dans une tribune qui a été vite relayée par la presse tant nationale qu ‘internationale cet arbre généalogie de « l’instrumentation de la justice par Kabila à la théatralisation par le Président Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO ! « . Moïse estime qu’il avait raison puisque le Président de la République lui en a donné une et pour preuve, il a salué l’honnêteté et l’objectivité intellectuelle du Premier Citoyen Congolais quant à ce. Par devoir de mémoire et de redevabiliter, Moïse, Chavalier de la plume de son état, a toujours été le dernier à avoir raison ; qu’on se le dise et qu’on se le communique.
Quand on sait que certains partisans de l’actuel Président de la République, voire de son prédécesseur, avaient du mal à tolérer ce qu’ils avaient vite assimilé à un « pamphlet « , criant au crime de lèse majesté ou encore à l’outrage au Chef de l’État. Et pourtant, pas plutard qu’hier, les partisans du pouvoir pour le pouvoir, avaient refusé d’accepter ce qui paraît aujourd’hui comme une évidence : L’instrumentation et la théatralisation de notre justice à double vitesse à des périodes différentes. Une leçon à tirer reste à savoir que le Président de la République démocratique du Congo, Chef de l’État Congolais, en tant que le Premier Magistrat Suprême du Pays ne devrait plus se contenter de dénoncer, pleurnicher, stigmatiser la comédie judiciaire, comme tous les communs des mortels en République démocratique du Congo et d’ailleurs. Mais, il est de son devoir et pouvoir de faire un bon casting dans les nominations des hauts magistrats sans passer par le bannissement du clientelisme, le népotisme, le tribalisme…et même se mettre loin des accords du genre Fcc -Cash ( clientelisme ).Qui dit mieux ? Les critères de compétence et de conscience obligent et plus rien ne devrait plus être comme avant, les deux critères précités devraient prévaloir dans ce secteur en particulier, et dans les restes de la vie en général. Sachant que le Président de la République et Chef de l’État a le plein pouvoir de destituer, de sanctionner positivement et même négativement les gens qui ont un pied dedans et un pied dehors moyennant l’usage des mécanismes institutionnels et constitutionnels néanmoins. Quant à ce qui est du principe sacro-saint de séparation du pouvoir très cher à Montesquieu où l’on sait que le « Pouvoir doit arrêter le Pouvoir « , ce qui n’est pas antinomique du principe de l’intérêt général et du rôle social de la Justice d’Aristote.
Même les Saintes Écritures ( la Bible et le Coran ) où il est clairement mentionné noir sur blanc que la Justice élève Une Nation. Dans le cas contraire, elle la détruit. D’où, il reconnaître que la Justice Sociale et Distributive, sont le fondement d’un État de droit. Sinon, l’héritage politique du mémorable immortel, le Docteur en Droit en sa qualité du Sphinx de Limete et Feu le Premier Ministre issu de la Conférence Nationale Souveraine à l’attrait du Peuple d’abord et avant tout, le reste immédiatement après, serait illusoire comme une Vision Sans Provision.
À suivre !
GEORGES KALONJI.