C’est grace à une tournée effectuée récemment dans les quelques provinces du pays que le président de la République a eu à palper de ses propres yeux les réalités enfuient des certains coins de l’etendue de la RDC.
La RDC est un pays à plusieurs défis à relever, d’où, il est compréhensible qu’un projet de taille pour répondre à la demande des 145 territoires est valable, puisque, c’est un programme visant à résoudre localement, les problèmes du pays en terme d’un appuis au developement des activités de production et de services dans les territoires ruraux en vue de l’emergence des economies rurales et locales, les reverifier et les dynamiser en dotant les ménages ruraux de securité alimentaire et d’un revenu descend, autonomisation des communautés locales pour produire des services d’egalité en milieux rurale en se basant sur l’approche de decentralisation.
Un programme jugé salvateur de plusieurs congolais, mais avec une préoccupation majeure autour de la question, celle de savoir, si réellement ce programme connaîtra t-il de l’aboutissement ainsi que de la réussite ? Sera t-il achevé ? puisque le peuple congolais gardent encore dans son esprit, les souvenirs des échecs précédents des autres programmes initiés auparavant par le chef de l’Etat tels que :
- Le programme 100 jours qui, n’a pas aboutit et même qu’il y a eu un procès 100 jours où, il y a des inculpations de l’équipe pilotage dudit projet.
- Le projet tshilejelu, qui, une somme importante a été decaissé pour la construction de quelques établissements scolaires, mais que, les réalités sur terrain étaient déplorables.
- Le programme des jeux de la francophonie qui, jusqu’à ce jour aucun réaménagement à ce sujet du stade où devrait abriter les jeux, etc.
La préoccupation réelle à ce questionnement est que tant des programmes instaurés par le chef de l’Etat qui, n’ayant pas connus de l’efficience en ce qui concerne la matérialisation convenable, nous nous demandons, qu’est-ce qu’il en faut pour que celui-ci (programme 145 territoires) ne connaisse pas les mêmes soucis que les autres précédents ?
Reponse selon l’avis du public :
La réussite de ce programme devrait dépendre de trois procédures consécutives à suivre par l’équipe pilotage afin que la matérialisation soit efficiente.
Premièrement, le choix du personnel pour piloter ce programme est recommandé ; un critère accompagnatif à ces hommes, celui d’être un homme d’intégrité morale. C’est-à-dire : l’honnêteté dans le travail donné, savoir l’éthique et code de travail, avoir un sens de responsabilité dans les engagements confiés par le chef de l’Etat et la layauté envers sa propre personne qui est un principe qui rend l’Etre humain conscient des engagements pris.
Deuxièmement, avec un projet d’une telle envergure, il doit y avoir un mécanisme de suivi grace auquel, il y aura une transparence et comptabilisation dans les actions de chaque membre de l’équipe de pilotage pendant leur execution.
Troisièmement, le programme doit porter la notion de la légitimité quand, il sera question de son exécution et permettre également la participation appropriée, équilibrée et non discriminatoire de la population bénéficiaire.
Quatrièmement, le programme doit comprendre également le principe de l’obligation d’où l’équipe pilotage devra à tout moment rendre compte aux citoyens congolais de leurs actions de manière à établir une transparence des activités pour lesquelles, la population entière est bénéficiaire. C’est-à-dire : si un million de dollars américains est decaissé pour l’achat des sacs de ciments, qu’il y ait un document attestant l’effectivité dudit décaissement et que, les articles achetés valent également le coût dépensé.
Enfin, cinquièmement, que la cour des comptes se fasse importante et joue le rôle qui est sien durant la matérialisation de ce programme.
Natacha BOYATA