Celle-ci est une analyse basée sur ce qui est de la réalité festive de ladite journée.
Une date qui marque le départ d’un changement de beaucoup des choses de la vie de l’être féminin et qui définit également les articles et/ou code qui doivent consister des éléments de base pour la vie de la femme en communauté, avec son semblable masculin. La date a pris une autre image ainsi qu’une autre explication selon la compréhension congolaise.
Pour nous femmes congolaises, cette journée spéciale renvoie l’image de port des pagnes et d’une célébration des fêtes, sans aucune réflexion sur ce que devrait faire une femme de ce qu’elle est, être féminin, créée pour un besoin dans la société et de la manière d’une valeur ajoutée pour pallier aux problèmes de l’homme masculin et de ce qu’elle devra faire de sa nature pour l’avancement des choses dans la société.
Aujourd’hui, si nous ne prenons pas l’engagement et le soin d’expliquer à la femme l’importance de cette journée et si nous ne leurs retraçons pas les principes sur l’instauration de la journée qui marque la liberté de la femme et également sur l’égalité des genres que fait comprendre la date du huit mars, alors la journée internationale des droits des femmes ne serait qu’un slogan dans le quotidien de la femme congolaise.
Natacha BOYATA MBIANA, DG 24critiques.
La Rédaction